Dans le cadre du CFF P24 au lycée, notre groupe, composé de Mathéo Nebling, Geoffrey Belliard, Louka Boucher et moi-même, a choisi de développer un projet autour de l’organisation d’un tournoi de basket 3 contre 3. Nous avons voulu proposer quelque chose de différent des autres groupes, qui se sont majoritairement orientés vers des événements à but caritatif. L’idée d’un tournoi sportif nous a semblé à la fois originale, dynamique et fédératrice, car elle s’adresse à tout le monde : aussi bien aux joueurs qu’aux spectateurs intéressés par le basket.
Collectivement, nous avons d’abord réfléchi ensemble à la faisabilité du projet, puis réparti les tâches sans logique fixe mais en fonction des disponibilités et des initiatives de chacun. Jusqu’à présent, nous avons contacté le club de basket de Merdrignac ainsi que la salle omnisport intercommunale afin d’obtenir leur accord pour organiser le tournoi. Nous avons également établi un seuil de rentabilité, un budget prévisionnel et un planning.
Sur le plan personnel, j’ai participé activement au brainstorming initial et à la construction de l’idée. J’ai pris en charge la communication avec le club de basket de Merdrignac, en les appelant et en leur envoyant des mails pour leur présenter notre projet et leur proposer une collaboration. J’ai aussi réalisé le budget boisson pour la buvette, afin d’anticiper une partie de nos recettes potentielles.
Il nous reste encore plusieurs étapes importantes à franchir. Collectivement, nous devons obtenir les accords définitifs du club et de la salle omnisport, réaliser un tableau KANBAN pour mieux suivre nos tâches, acheter les boissons pour la buvette et finaliser les éléments administratifs demandés par le lycée. Ces points sont essentiels, notamment pour que l’établissement puisse nous accorder le financement prévu de 50 €.
Ce projet est intéressant pour moi car il oblige à s’organiser, à travailler en équipe et à prendre contact avec des interlocuteurs extérieurs. Cela me fait sortir du cadre scolaire habituel et me permet de développer des compétences concrètes en communication, en gestion et en autonomie.
Les contraintes principales que nous rencontrons sont d’ordre financier et temporel. Nous avons très peu de moyens et le temps joue contre nous, ce qui nous pousse à être efficaces et à bien planifier nos actions.
Actuellement, j’évaluerais nos chances de réussite comme moyennes. Le projet reste risqué, car une grande partie dépend de la réponse du club de basket. Cependant, je reste confiant : le projet est cohérent, les besoins matériels sont limités, et il devrait facilement susciter de l’intérêt localement. De plus, nos objectifs de participation ne sont pas très élevés, ce qui rend le projet réaliste et atteignable.
